Papavrami nous happe d'emblée dans la lumière de son violon, dans le legato de son archet, virtuose certes,
mais d'une folle élégance, fantasque, sensuel, mélancolique, de quoi nourrir admirablement ce parcours de l'école franco-belge du violon (Sarasate, Saint-Saëns, Ysaye Chausson), en dialogue avec François-Xavier Roth et le Philharmonique de liège, d'une densité colorée jamais pesante. Le Soir-12-05-2010
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